mardi 28 septembre 2021

Déso suite

 


Allez :
- dans Télérama web
- sur le blog de Li-An
- un article très enthousiaste sur Benzine mag
- dans Avoir/alire
- sur La bande du 9

Et aussi ma frangine ! :

"Les histoire d’A. finissent mal … en général.
C’est une bédé qui commence comme le roman de Jean Echenoz « Je m’en vais » : Jean-Louis Payet se tire, il se casse, il part, suite à une histoire d’amour qui finit mal, toussa toussa. Jean-Louis monte dans un bateau, direction les iles Kerguelen, tout au sud du sud. Loin des beautés sauvages à la polynésienne, ces îles (dont la plus grande s’appelle l’île de la désolation, c’est dire) ne sont que terres battues, roches, falaises, habitées par quelques scientifiques, des rennes, des manchots, et même plus de moutons.
Jean-Louis, qui se fait appeler Evariste pour se donner un genre, découvre la vie à bord du Marion Dufresne (le bateau des scientifiques), et nous, on suit gentiment son journal de bord. Il fait froid, les gars portent des anoraks, on sent l’humidité, on se rapproche de l’île, et enfin on y débarque.
L’histoire est découpée en chapitres, et chaque chapitre est séparé du suivant par une double page noire et blanche. Ces pages noires, on les attend, on s’y plonge, elles nous permettent de faire une pause, d’assimiler tout ce qu’on vient d’apprendre.
Et puis les cases noires, tout à coup, en page 41, se multiplient, et l’histoire bascule.
Le reste est une fable écologique brutale, âpre, austère, dans cette île de cailloux et de vent.
A peine, parfois, une page de vert et de fleurs nous permet de respirer.
On ne lâche pas le livre jusqu’à la fin, dont on aimerait bien discuter avec vous, mais faut d’abord que vous la lisiez.
Car vous avez compris qu’il faut lire cet album qui vient de paraitre, dessins et scénario magnifiquement accordés ?
Nota 1 : Hélène, si je t’écris, aux Kherguelen, c’est parce qu’ici, sans le savoir tu as laissé quelqu’un qui t’aime..🎶 (c’est obligé : tribute to Dave)
Nota 2 : on veut bien connaitre la marque des lunettes de Jean-Louis, elles sont indestructibles 😊"

La librairie Mine de rien :
"Évariste envoie tout péter : son île (La Réunion), son travail, sa petite amie et embarque à bord d'un bateau en partance pour l'île de la Désolation en plein cœur des terres australes et antarctiques françaises.
Ce qui commence comme un ouvrage à la Teysson va se poursuivre comme un survival à la "Délivrance" de John Boorman.
En 100 pages, Appollo le génial scénariste de "La Grippe Coloniale" (2003-2012) "Biotope" (2006-2007) et "Les Voleurs de Carthage" (2013-2014) nous entraine dans un voyage en enfer haletant mêlant à la fois HG Welles et Lovecraft au final saisissant.
Récit de terreur très malin soulevant de nombreuses questions sur la science, l'écologie et l'avenir de l'humanité, "Désolation" est magnifié par le dessin quasi expressionniste de Christophe Gautier qui nous livre là l'un de ses meilleurs boulots. Une très très bonne surprise !
Foncez, sueurs froides garanties !"

Le Monde :

« La Désolation » : tristes tropiques australs



vendredi 24 septembre 2021

jeudi 16 septembre 2021

Les désolés



 On ne peut pas vraiment dire que les critiques se multiplient. Notons une critique en demi-teinte sur planetebd et un compte-rendu radiophonique sur PFM.


mercredi 1 septembre 2021

La Désolation - Premières approches

 Un article dans "Livres Hebdo" signé Anne-Claire Norot qui dit tout plein de gentilles choses :
Appollo et Gaultier, « La désolation » (Dargaud) : La baie de la Terreur | Livres Hebdo




Et une vidéo très chouette de la librairie parisienne BD16